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Le Saint-Mont, ou mont Habend, est un sommet secondaire du massif des Vosges culminant à 672 m d'altitude. Il est situé dans le département des Vosges en région Grand Est. La partie est comprenant le sommet est située sur la commune de Saint-Amé tandis que la partie ouest est située sur la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont. Il fait partie du Le Saint-Mont s’est appelé mont Habend jusqu’au XIIIe siècle. Le nom Habend serait issu, d’après le docteur A. Fournier, d’anciens noms de mouvement d’eau. Le pays d'Habend, Pagus Habendensis, étant littéralement le pays de l’eau, le mont Habend alimente les rivières Moselle et Moselotte. Le nom Habend prend une forme germanique du XIIIe siècle, il est transcrit dans l’obituaire du Saint-Mont de 1406 sous Romberg ou Rombech. Puis Romberg et Saint-Mont, Sanctus Mons en latin, sont tous deux cités jusqu’à la fin du Moyen Âge pour ne trouver ensuite que Saint-Mont, nom qui honore les reliques des saints et saintes présentes au monastère du Saint-Mont depuis le VIIe siècle. Géographie Le Saint-Mont appartient au massif des Vosges. Il est constitué de roches granitiques. Il culmine à 672 m et domine la vallée au confluent de la Moselle et de la Moselotte. Le Saint-Mont surplombe à l’ouest Remiremont, ville à laquelle il a partiellement donné son nom, et s’étend sur les communes de Saint-Amé et Saint-Étienne-lès-Remiremont. Au nord, il est relié au massif du Fossard par le pont des Fées. Cet ouvrage exceptionnel en pierres sèches de 29 m de long, 13 m de large et 7 m d'épaisseur est encore d’origine inconnue malgré les nombreuses hypothèses. Histoire Site du Saint-Mont. Article détaillé : Abbaye du Saint-Mont. Depuis la haute Antiquité, la partie sommitale du Saint-Mont a toujours été un lieu cultuel. Les Gaulois ont vénéré le soleil Belen, les Gallo-romains le dieu Mithra apporté par les Romains qui ont construit sur l'actuel Saint-Mont la forteresse Castrum Habendi. Ce sont les saints Romaric (Romary) et Amé qui installent la pratique chrétienne sur le Saint-Mont au VIIe siècle. Le noble austrasien Romary affranchit ses serfs et se consacre aux petites besognes du monastère colombanien de Luxeuil. Il conserve un bien au sommet du Saint-Mont appelé alors mont Habend. Le Castrum Habendi est devenu le Castellum Habend où logent de prestigieux hôtes : Charlemagne, Louis le Pieux, Lothaire. Romary installe en 620 avec l’aide spirituelle d'Amé, noble d’origine romaine, un monastère de filles colombanistes au sommet du Saint-Mont. Le monastère comprend deux basiliques, Saint-Pierre et Sainte-Marie, et une cellule pour lépreuses. Après deux siècles de vie difficile due à la règle ascétique de saint Colomban et aux hivers rigoureux, le monastère est translaté le 17 mai 818 dans la vallée qui devient Romaricis Mons puis Remiremont. La translation correspond aussi au passage des règles de saint Colomban à l'ordre des bénédictins. Le Saint-Mont est occupé sporadiquement comme refuge des religieux de Remiremont en fonction des invasions hongroises. Il faut attendre cent ans avant le retour d'un ordre monastique. En 1020, le bienheureux Richard, abbé de Saint-Vanne de Verdun, se réfugie pour 5 ans au Saint-Mont, appelé alors Romberg. Avec quelques disciples il impose la règle des Pères du désert. Le sommet est réoccupé après 1050 par des ermites sans ordre monastique. À partir de 1120 ce sont de chanoines réguliers répondant à la règle de Saint-Augustin. En 1169, le Saint-Mont est uni à la cure de Dommartin pour subvenir aux besoins des religieux. Le monastère et l’église subissent un incendie en 1369. Le prieur Simon de Faucogney assure leur reconstruction. Catherine de Lorraine s'intéresse au Saint-Mont et prépare le retour des bénédictins en 162323. Les bâtiments sont à nouveau incendiés et reconstruits en 1663 et 1709. Le monastère est reconstruit en 1735 sous le prieur Jérôme Gillet. Le 2 novembre 1789, les biens de l’église sont mis à la disposition de la nation et en 1791, le prieuré est supprimé. Il est à l'abandon jusqu’en 1819, vendu à un entrepreneur de Remiremont qui l'arase complètement et construit sur place une maison d'habitation civile avec les pierres récupérées. En 1852 Charles Galmiche achète 45 hectares de la partie sommitale et fait construire une chapelle sur l'emplacement de l'église. Elle est restaurée en 1953 pour le treizième centenaire de la mort de Romary. Charles Galmiche introduit le premier élevage domestique de lamas en France. Ce sont des lamas de petite taille qui servent au transport de produits agricoles, matériel voire de personnes de moins de 50 kilos. Charles Galmiche lègue la propriété à son neveu Eusèbe Galmiche qui obtient en 1901 l'autorisation de consécration dans la chapelle pour renouer avec la tradition cultuelle du Saint-Mont. Les héritiers d'Eusèbe Galmiche prêtent la maison d'habitation à Mgr Jean Rodhain qui autorise les premières fouilles archéologiques confirmant les écrits sur le Saint-Mont. La commune de Saint-Amé veut s’assurer de la poursuite des recherches archéologiques et la conservation du côté cultuel du site en achetant la partie sommitale du Saint-Mont. Après six ans de procédures elle devient propriétaire de la partie sommitale Randonnées au départ de Saint Etienne les Remiremont, voir les fiches du Club Vosgien
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Saint-Mont
Le Saint-Mont
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Le Saint-Mont, ou mont Habend, est un sommet secondaire du massif des Vosges culminant à 672 m d'altitude. Il est situé dans le département des Vosges en région Grand Est. La partie est comprenant le sommet est située sur la commune de Saint-Amé tandis que la partie ouest est située sur la commune de Saint-Étienne-lès-Remiremont. Il fait partie du Le Saint-Mont s’est appelé mont Habend jusqu’au XIIIe siècle. Le nom Habend serait issu, d’après le docteur A. Fournier, d’anciens noms de mouvement d’eau. Le pays d'Habend, Pagus Habendensis, étant littéralement le pays de l’eau, le mont Habend alimente les rivières Moselle et Moselotte. Le nom Habend prend une forme germanique du XIIIe siècle, il est transcrit dans l’obituaire du Saint-Mont de 1406 sous Romberg ou Rombech. Puis Romberg et Saint-Mont, Sanctus Mons en latin, sont tous deux cités jusqu’à la fin du Moyen Âge pour ne trouver ensuite que Saint-Mont, nom qui honore les reliques des saints et saintes présentes au monastère du Saint-Mont depuis le VIIe siècle. Géographie Le Saint-Mont appartient au massif des Vosges. Il est constitué de roches granitiques. Il culmine à 672 m et domine la vallée au confluent de la Moselle et de la Moselotte. Le Saint-Mont surplombe à l’ouest Remiremont, ville à laquelle il a partiellement donné son nom, et s’étend sur les communes de Saint-Amé et Saint-Étienne-lès-Remiremont. Au nord, il est relié au massif du Fossard par le pont des Fées. Cet ouvrage exceptionnel en pierres sèches de 29 m de long, 13 m de large et 7 m d'épaisseur est encore d’origine inconnue malgré les nombreuses hypothèses. Histoire Site du Saint-Mont. Article détaillé : Abbaye du Saint-Mont. Depuis la haute Antiquité, la partie sommitale du Saint-Mont a toujours été un lieu cultuel. Les Gaulois ont vénéré le soleil Belen, les Gallo-romains le dieu Mithra apporté par les Romains qui ont construit sur l'actuel Saint-Mont la forteresse Castrum Habendi. Ce sont les saints Romaric (Romary) et Amé qui installent la pratique chrétienne sur le Saint-Mont au VIIe siècle. Le noble austrasien Romary affranchit ses serfs et se consacre aux petites besognes du monastère colombanien de Luxeuil. Il conserve un bien au sommet du Saint-Mont appelé alors mont Habend. Le Castrum Habendi est devenu le Castellum Habend où logent de prestigieux hôtes : Charlemagne, Louis le Pieux, Lothaire. Romary installe en 620 avec l’aide spirituelle d'Amé, noble d’origine romaine, un monastère de filles colombanistes au sommet du Saint-Mont. Le monastère comprend deux basiliques, Saint-Pierre et Sainte-Marie, et une cellule pour lépreuses. Après deux siècles de vie difficile due à la règle ascétique de saint Colomban et aux hivers rigoureux, le monastère est translaté le 17 mai 818 dans la vallée qui devient Romaricis Mons puis Remiremont. La translation correspond aussi au passage des règles de saint Colomban à l'ordre des bénédictins. Le Saint-Mont est occupé sporadiquement comme refuge des religieux de Remiremont en fonction des invasions hongroises. Il faut attendre cent ans avant le retour d'un ordre monastique. En 1020, le bienheureux Richard, abbé de Saint-Vanne de Verdun, se réfugie pour 5 ans au Saint-Mont, appelé alors Romberg. Avec quelques disciples il impose la règle des Pères du désert. Le sommet est réoccupé après 1050 par des ermites sans ordre monastique. À partir de 1120 ce sont de chanoines réguliers répondant à la règle de Saint-Augustin. En 1169, le Saint-Mont est uni à la cure de Dommartin pour subvenir aux besoins des religieux. Le monastère et l’église subissent un incendie en 1369. Le prieur Simon de Faucogney assure leur reconstruction. Catherine de Lorraine s'intéresse au Saint-Mont et prépare le retour des bénédictins en 162323. Les bâtiments sont à nouveau incendiés et reconstruits en 1663 et 1709. Le monastère est reconstruit en 1735 sous le prieur Jérôme Gillet. Le 2 novembre 1789, les biens de l’église sont mis à la disposition de la nation et en 1791, le prieuré est supprimé. Il est à l'abandon jusqu’en 1819, vendu à un entrepreneur de Remiremont qui l'arase complètement et construit sur place une maison d'habitation civile avec les pierres récupérées. En 1852 Charles Galmiche achète 45 hectares de la partie sommitale et fait construire une chapelle sur l'emplacement de l'église. Elle est restaurée en 1953 pour le treizième centenaire de la mort de Romary. Charles Galmiche introduit le premier élevage domestique de lamas en France. Ce sont des lamas de petite taille qui servent au transport de produits agricoles, matériel voire de personnes de moins de 50 kilos. Charles Galmiche lègue la propriété à son neveu Eusèbe Galmiche qui obtient en 1901 l'autorisation de consécration dans la chapelle pour renouer avec la tradition cultuelle du Saint-Mont. Les héritiers d'Eusèbe Galmiche prêtent la maison d'habitation à Mgr Jean Rodhain qui autorise les premières fouilles archéologiques confirmant les écrits sur le Saint-Mont. La commune de Saint-Amé veut s’assurer de la poursuite des recherches archéologiques et la conservation du côté cultuel du site en achetant la partie sommitale du Saint-Mont. Après six ans de procédures elle devient propriétaire de la partie sommitale Randonnées au départ de Saint Etienne les Remiremont, voir les fiches du Club Vosgien
Massif des Vosges Grand ballon : 1423 m Stoerkenkopf: 1366 M Le Hohneck / 1363 m Kastelberg : 1350 m Klintzkopf : 1329 m Petit Ballon : 1272 m Le Donon : 1008 m Col de la Schlucht : 1139 m La Bresse : 874 m Gérardmer : 584 m Le Saint Mont : 672 m Remiremont : 379 m
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Vosges
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Massif des Vosges Grand ballon : 1423 m Stoerkenkopf: 1366 M Le Hohneck / 1363 m Kastelberg : 1350 m Klintzkopf : 1329 m Petit Ballon : 1272 m Le Donon : 1008 m Col de la Schlucht : 1139 m La Bresse : 874 m Gérardmer : 584 m Le Saint Mont : 672 m Remiremont : 379 m

Fort du Parmont

Description Le Fort du Parmont ou « Fort de Remiremont », édifié sur le massif du Parmont, surplombe la ville. Il fait partie du rideau défensif de Haute-Moselle édifié par le Général Séré de Rivères entre les places fortes d’Epinal et de Belfort. A l’abandon depuis 1960, il est aujourd’hui en cours de restauration par des bénévoles regroupés au sein du Comité de Sauvegarde du Fort du Parmont. Découvrez ce fort atypique, avec son point de vue exceptionnelle sur Remiremont, les vallées de la Moselle et de la Moselotte et ses chèvres en semi-liberté. Visites le dimanche à 15h00 de mai à fin septembre En sus en juillet-aout, le mardi : 14h30, sur inscription à l'Office du Tourisme Remiremont. Plombières-les-Bains Tarifs libres. Fermé en hiver. Accessible en randonnée depuis Remiremont, voir les fiches du club Vosgien
Fondée en 620 par Saint-Romaric, Remiremont (Romarici Mons) abrita pendant plus de mille ans, au sein du Chapitre de Chanoinesses le plus renommé d'Europe, par son ancienneté, sa richesse et la qualité de son recrutement, le quotidien de femmes issues de familles nobles et royales. Chef lieu de canton situé à la frontière de trois régions (Lorraine, Franche-Comté et Alsace) et sur l'axe routier Bénélux/Bâle, carrefour économique desservi par le TGV Est, son influence s'étend à une grande partie des Hautes-Vosges, soit un territoire regroupant près de 90 000 habitants. Station de Tourisme à la jonction des vallées de la Moselle et de la Moselotte, Remiremont est le point de départ de la Voie Verte et offre un accès idéal aux "loisirs verts" dans ce massif vosgien dont elle est l'une des Portes. Découvrez les spécialités gastronomiques de Remiremont : Le Pâté de Truite des Abbesses, confectionné à base de filets de truite marinés avec du vin blanc, un met qui se déguste chaud, en entrée ou en plat principal. La nonnette de Remiremont, petit gâteau au pain d'épices, très prisé dans les salons parisiens du début du siècle dernier. La Loriquette de Remiremont, gâteau à base de pâte d'amande avec la forme d'une étoile à 3 branches. • Du passé glorieux du chapitre de nobles dames de Remiremont subsiste un patrimoine architectural remarquable : • Un centre historique, autrefois enserré dans une enceinte qui se compose d'un très bel ensemble de bâtiments datant pour la plupart du XVIIIe siècle : l'église abbatiale Saint-Pierre du XIIIe s. et sa crypte romane du XIe s., classée parmi les plus anciennes constructions de Lorraine, une quinzaine de maisons canoniales, maisons particulières des chanoinesses datant du XVIIIe et le Palais Abbatial, résidence de l'abbesse et des dignitaires de sa maison construit durant ce même siècle. • Les arcades, qui bordent des deux côtés la principale rue commerçante de Remiremont, sont une curiosité architecturale unique en Lorraine et peut-être même en France. Le dessin des arcades, qui datent du XVIIIe siècle avec quelques vestiges plus anciens, présente une grande variété de formes : tantôt l'arc est étroit et en plein cintre, tantôt d'une largeur moyenne et surbaissée ou encore large et en anse de panier, avec de nombreuses variantes entre ces trois types, ce qui fait qu'aucun arc n'est semblable. Depuis leur construction, les arcades ont conservé leur vocation de galerie marchande, très appréciée des Romarimontains et des touristes. • Les 19 fontaines dont 9 sont classées Monuments Historiques. Elles datent principalement du XIXe s. et quelques unes du XXe s. • En dehors de la ville, se trouve la chapelle de la Madeleine qui était une ancienne léproserie. • L'Office de Tourisme est à votre disposition pour organiser des visites guidées en français, anglais, et allemand, adaptables sur demande, par un guide diplômé d'Etat. • Le Musée Charles de Bruyère : Maison natale de Charles de Bruyère qu'il léguera à la ville en 1905, ainsi que les collections qu'elle abrite afin d'en faire un musée. Allié des grandes familles de France et fidèle aux valeurs de l'Ancien Régime, Charles de Bruyère avait rassemblé de nombreux portraits d'aristocrates, des tableaux religieux et des souvenirs provenant de l'Abbaye de Remiremont. La ville de Remiremont, qui hérita de cette collection, sut la valoriser et la compléter faisant du musée Charles de Bruyère un musée encyclopédique aux collections prestigieuses : peintures, sculptures, objets d'art, histoire, art populaire lorrain. • Le Musée Charles Friry : Ce musée se trouve dans une maison ayant appartenu au chapitre noble des Dames de Remiremont, une des plus importantes abbayes de France. C'est en 1833 que Charles Friry, jeune magistrat, s'installe suite à son mariage dans cette demeure au passé prestigieux. Homme aux talents multiples, archéologue, historien, inventeur, amateur d'art, artiste lui-même, il enrichira pendant 50 ans sa maison de nombreux tableaux et objets d'art. Son oeuvre sera poursuivie par son petit-fils, le peintre Pierre Waidmann, dont le musée possède plusieurs oeuvres. Lieux d'intérêt Ajouter Lieux de loisirs Musée Charles Friry Musée Municipal Charles de Bruyère Monuments Abbaye de Remiremont Fort du Parmont Points information Office de Tourisme de Remiremont Salles de spectacle Palais des congrès de Remiremont Transports Gare de Remiremont
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REMIREMONT
68 Rue Charles de Gaulle
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Fondée en 620 par Saint-Romaric, Remiremont (Romarici Mons) abrita pendant plus de mille ans, au sein du Chapitre de Chanoinesses le plus renommé d'Europe, par son ancienneté, sa richesse et la qualité de son recrutement, le quotidien de femmes issues de familles nobles et royales. Chef lieu de canton situé à la frontière de trois régions (Lorraine, Franche-Comté et Alsace) et sur l'axe routier Bénélux/Bâle, carrefour économique desservi par le TGV Est, son influence s'étend à une grande partie des Hautes-Vosges, soit un territoire regroupant près de 90 000 habitants. Station de Tourisme à la jonction des vallées de la Moselle et de la Moselotte, Remiremont est le point de départ de la Voie Verte et offre un accès idéal aux "loisirs verts" dans ce massif vosgien dont elle est l'une des Portes. Découvrez les spécialités gastronomiques de Remiremont : Le Pâté de Truite des Abbesses, confectionné à base de filets de truite marinés avec du vin blanc, un met qui se déguste chaud, en entrée ou en plat principal. La nonnette de Remiremont, petit gâteau au pain d'épices, très prisé dans les salons parisiens du début du siècle dernier. La Loriquette de Remiremont, gâteau à base de pâte d'amande avec la forme d'une étoile à 3 branches. • Du passé glorieux du chapitre de nobles dames de Remiremont subsiste un patrimoine architectural remarquable : • Un centre historique, autrefois enserré dans une enceinte qui se compose d'un très bel ensemble de bâtiments datant pour la plupart du XVIIIe siècle : l'église abbatiale Saint-Pierre du XIIIe s. et sa crypte romane du XIe s., classée parmi les plus anciennes constructions de Lorraine, une quinzaine de maisons canoniales, maisons particulières des chanoinesses datant du XVIIIe et le Palais Abbatial, résidence de l'abbesse et des dignitaires de sa maison construit durant ce même siècle. • Les arcades, qui bordent des deux côtés la principale rue commerçante de Remiremont, sont une curiosité architecturale unique en Lorraine et peut-être même en France. Le dessin des arcades, qui datent du XVIIIe siècle avec quelques vestiges plus anciens, présente une grande variété de formes : tantôt l'arc est étroit et en plein cintre, tantôt d'une largeur moyenne et surbaissée ou encore large et en anse de panier, avec de nombreuses variantes entre ces trois types, ce qui fait qu'aucun arc n'est semblable. Depuis leur construction, les arcades ont conservé leur vocation de galerie marchande, très appréciée des Romarimontains et des touristes. • Les 19 fontaines dont 9 sont classées Monuments Historiques. Elles datent principalement du XIXe s. et quelques unes du XXe s. • En dehors de la ville, se trouve la chapelle de la Madeleine qui était une ancienne léproserie. • L'Office de Tourisme est à votre disposition pour organiser des visites guidées en français, anglais, et allemand, adaptables sur demande, par un guide diplômé d'Etat. • Le Musée Charles de Bruyère : Maison natale de Charles de Bruyère qu'il léguera à la ville en 1905, ainsi que les collections qu'elle abrite afin d'en faire un musée. Allié des grandes familles de France et fidèle aux valeurs de l'Ancien Régime, Charles de Bruyère avait rassemblé de nombreux portraits d'aristocrates, des tableaux religieux et des souvenirs provenant de l'Abbaye de Remiremont. La ville de Remiremont, qui hérita de cette collection, sut la valoriser et la compléter faisant du musée Charles de Bruyère un musée encyclopédique aux collections prestigieuses : peintures, sculptures, objets d'art, histoire, art populaire lorrain. • Le Musée Charles Friry : Ce musée se trouve dans une maison ayant appartenu au chapitre noble des Dames de Remiremont, une des plus importantes abbayes de France. C'est en 1833 que Charles Friry, jeune magistrat, s'installe suite à son mariage dans cette demeure au passé prestigieux. Homme aux talents multiples, archéologue, historien, inventeur, amateur d'art, artiste lui-même, il enrichira pendant 50 ans sa maison de nombreux tableaux et objets d'art. Son oeuvre sera poursuivie par son petit-fils, le peintre Pierre Waidmann, dont le musée possède plusieurs oeuvres. Lieux d'intérêt Ajouter Lieux de loisirs Musée Charles Friry Musée Municipal Charles de Bruyère Monuments Abbaye de Remiremont Fort du Parmont Points information Office de Tourisme de Remiremont Salles de spectacle Palais des congrès de Remiremont Transports Gare de Remiremont

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Terminus de la gare à Remiremont, bus pour les vallées

En hiver, dans me massif, pneus neige obligatoires